• Accueil
  • Epaule
  • Coude
  • Main
  • Traitements
  • Informations pratiques
Prendre rendez-vous en ligne
Épaule
  • Anatomie
  • Ceinture scapulaire
  • Clavicule
  • Disjonction acromio claviculaire
  • Arthrose acromio claviculaire
  • Pathologie de la coiffe des rotateurs
  • Tendinopathie, conflit
  • Rupture de la coiffe des rotateurs
  • Calcification
  • Pathologie de la longue portion du biceps
  • Acromioplastie
  • Luxation épaule instable
  • Raideur et capsulite
  • Fractures
  • Arthrose, destructions articulaires et prothèses
  • Arthroscopie de l'épaule
  • Immobilisation de l’épaule
  • Rééducation de l'épaule
  • Rééducation des épaules « fragiles »
  • Rééducation des épaules stables
  • Rééducation des réparations de la coiffe des rotateurs
  • Spécificité des réparations du sous scapulaire
  • Rééducation des raideurs
  • Rééducation en piscine ou balnéothérapie

Anatomie

Le bourrelet glénoïdien ou labrum est un structure ressemblant au ménisque du genou qui améliore le contact entre glène et humérus. Il s'y insère des structures importantes : un des deux tendons du biceps en haut et surtout les ligaments gléno-huméraux qui se comportent comme un hamac qui retient l'humérus lorsque le bras s'élève. Les lésions du bourrelet sont ainsi toujours associées à une atteinte plus ou moins importante et plus ou moins complexe des ligaments.

Il convient d'insister particulièrement sur le fait que la capsule articulaire est lâche, large avec des culs de sac articulaires importants. Cette caractéristique est physiologique et nécessaire pour permettre l'amplitude des mouvements gléno-huméraux. Les ligaments qui correspondent essentiellement à des renforcements et des épaississements de la capsule, ne se mettent en tension, que dans les mouvements extrêmes. Les ligaments gléno-huméraux n'interviennent que lorsque les autres éléments stabilisateurs ont été dépassés dans les secteurs de mobilité extrême. Dans l'exemple ci-joint, la stabilisation de la coiffe des rotateurs est dépassée en armée du bras. L'élévation du bras déplace le sous scapulaire en haut, laissant un hiatus où seul le hamac ligamentaire stabilise l'articulation.

<< Page précédente
Accueil - Crédits - Contact